Chapitre 3 bis : Retour à la maison.

Il quittait enfin la tour Eiffel, que sans doute il ne regarderai plus jamais du même oeil après les évènements étranges de la nuit. Une nuit longue, beaucoup trop longue, sans doute le jeune garou avait pris un tournant radical dans son avenir, ses pensées et sa manière de ressentir le monde. Paris... une ville qui perd ces souleurs à chaque pas qui le rapprochait de chez lui. Ce n'était pas sa ville, il n'était pas fait pour ce genre de lieu; mais poru quel lieu alors ? Ca fôret noire qu'il aime tant ? Son domicile de Fribourg ? Pas de réponse.

- Que suis-je....

Dereck regardait ses mains, ses pas le guidant par instinct chez lui, au nord du onzième, Rue Dranem. Jamais il n'était arrivé en retard à la caserne, le garde à l'entrée lui demanderai sans doute pourquoi il arrive à une heure pareille dans un tel état.... et le savon paternet serai sans doute mémorable.

- Que...

Les bruits semblaient s'assourdir, les pas devenait lourd, il approchait de la maison... inerte au monde extérieur... Ce n'était pas chez lui cette caserne mais il devait parler a son père.... ou passer un coup de téléphone vers l'allemagne...

**Avancer lentement vers le garde-barrière, passer la main dans la poche et sortir son badge. Le garde à l'entrée me laisser passer, avec un regard lorud de reproche vu l'état dans lequel je suis... Il doit penser que j'ai bu ou quelquechose comme ca.**

- Je monte directement...

**Quelques dizaine de pas et me voila enfin à la maison. J'entre et rien personne... Pa' as dut partir bosser. Tant mieux j'ai qu'a me trainer au lit.**

Le sommeil tomba comme une chappe de plomb sur le jeune garou, qui dérapa dans un long sommeil sans rêves.

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Une chaise verte kaki... Voila la première idée qui imprima l'esprit de Dereck quand il ouvri les yeux. Il se leva lentement et tira sur cette chaisse s'asseyant a son bureau face au lit afin de s'éclaircir les idées. Une odeur de café chaud provenant de plus loin dans l'appartement.

- Il est rentré on dirait.

Dereck jetta un coup d'oeil sur le reveil digital à sa gauche. Ca faisait deux heures qu'il était entré et déjà presque en forme. C'est pas humain de récupéré aussi vite.


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- Deux jours qu'on as changé d'appartement, que je suis ré-affecter au centre des renseignements et tu commence a te faire remarquer. Tu as une raison valable ?

- J'ai eut un accident en rentrant. J'ai..... changé.

Le père de dereck se figa avant de se retourner vers lui et poser une tasse de café sur la table et de le fixer.

- Le genre poilu avec des dents ?

Dereck fut carrement abassourdit de la question de son père, comme si il savait quelquechose... comme si il avait toujours sut ...

- Tu devrais appeller ta mère, elle t'expliquera beaucoup mieux que moi.

- Oui...

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